Je signale que le curateur ad hoc ainsi que la curatrice ne font pas encore partie de la Justice (En 2012, ils le seront)**
Le 13 avril 2011**
Comme vous pourrez l’apprendre plus loin, une Juge des tutelles, avant d’être mutée, pour défendre une curatrice coupable, a laissé des consignes au nouveau Juge afin que celui-ci désigne, à mes frais, un curateur ad hoc pour falsifier les comptes et faire en sorte que, si j’arrive à prouver avec l’aide d’un médecin assermenté que la mesure n’a plus lieu d’être, cette mesure soit maintenue pour aliénation parentale et spoliation par la famille.
Je ne vais pas trop rentrer dans les détails comptables mais je les tiens à disposition de gens intègres.
Affaires immobilières concernant quatre maisons.
Mon père, quand j’étais mariée, nous avait acheté une maison incendiée qu’il avait lui même reconstruit. Nous n’avons pas payé la main d’oeuvre.
Cette maison a été vendue pour aménagement de la maison suivante et lancement de mon ex-mari militaire devenu retraité dans une entreprise indépendante.
Mon père avait acheté, parallèlement, une longère dont je parle ci-dessus qu’il a lui même retapée. Nous l’avons donc améliorée avec une partie de l’argent de la première.
Instance de divorce. Séparation. J’achète une maison avec un prêt-relais en attendant de recevoir la moitié de l’argent de la longère commune à mon ex et moi. Mon père se voit obligé de racheter le prêt relais. Je revends cette maison 175000,- euros. J’ai donc 175000,- euros moins les 106000,- euros que mon père a versé pour le prêt relais soit 69000,- euros.
Divorce, partage soit 152500,- chacun à mon ex-mari et moi.
Hospitalisation. Je dispose donc de 152500,- euros + la différence ci-dessus : 69000,- euros.
Ces 221500,- sont investis dans une villa résidentielle sur laquelle mon père rajoute encore 66000,- pour le terrain et 53000,- pour l’agencement intégral (panneaux solaires, portail électrique, cuisine aménagée, meubles, peintures, tapisseries et j’en passe.
Sans que Madame la Juge y trouve à redire pendant 4 ans, mon père avait construit, au dessus du garage deux places de la dernière maison, un studio loué à un étudiant.
Il récupérait alors ainsi, petit à petit, l’argent qu’il avait investi. Cela représente une somme approximative de 14000,- euros.**
66000,- + 53000,- = 119000,- moins 14000,- = 105000,- non récupérés par mon père à cause de l’intervention de Madame la Juge.
CALCUL DU CURATEUR ADHOC : MON PERE ME DEVRAIT 115000,- euros qu’il a dû mettre sur mon compte bancaire sous la gérance de la curatrice dont je me plains depuis des années.
Mon père perd donc 220000,- euros.
CET EXPERT-COMPTABLE A TRANSFORME LES REMBOURSEMENTS, LES FACTURES EN DONS MANUELS ET N’A PAS TENU COMPTE DE SES FRAIS LORSQUE J’ETAIS SEPAREE NI D’AILLEURS DE TOUT CE QU’IL A DU HONORER A LA PLACE DE LA CURATRICE.**
Vous pouvez constater que mon père n’a pas ménagé sa peine pour assurer mon avenir. Il a utilisé ses économies et son savoir-faire malgré son âge et cela se retourne contre lui à cause d’une curatelle qui n’a plus lieu d’être et de mon combat pour m’en extraire !
Pourquoi ?
J’en arrive au DROIT D’INGERENCE, soit au droit de la justice de s’immiscer dans ma vie privée.
La Justice peut décider de mettre en isolement, sous traitement, sous MESURES juridiques une personne dangereuse pour elle-même ou pour autrui.
Comme je ne suis pas dangereuse pour moi-même, pour qui le suis-je ?**
POUR LA JUSTICE ?**